La lune et le bananier

La lune et le bananier : En réponse à Catherine Ramousse : Il faut voir le documentaire avant d'en parlé. Ce que vous dites est ce qui est dit dans le film. Sauf une chose : Si on doit exproprier les malgaches de leur terre pour des parcs alors il est nécessaire de le faire avec un minimum d'équité. Et ensuite le parc n'a pas empêché les trafiquants de bois de rose de couper les bois précieux la forêt.

La lune et le bananier : En réponse à Catherine Ramousse : Il faut voir le documentaire avant d'en parlé. Ce que vous dites est ce qui est dit dans le film. Sauf une chose : Si on doit exproprier les malgaches de leur terre pour des parcs alors il est nécessaire de le faire avec un minimum d'équité. Et ensuite le parc n'a pas empêché les trafiquants de bois de rose de couper les bois précieux la forêt.

Pour avoir vécu et voyagé à Mada : J'hallucinesur la présentation de votre documentaire !Mais si ces pauvresparcs n'étaient pas crées, madagascar serait réduit en cendre !Vous réalisez ou pas ce qui est demandé à la terre : assurerle lien entre les générations passées, présentes et futures.Concretement : c'est 90% du territoire qui est bouzillé avec cesméthodes ! Avec l'accroissement démographique, seuls les parcs sontpréservés ; et ils ne le sont plus, à cause de la corruption, toutce monaye. Les chinois pillent la planète et en ce cas d'epèce, lebois de rose, les pierres, les minerais ; bref ! Ils pénetrent dansces enclaves et bouleversent tout ce que les assos, les ong, essaientde mettre en place pour que les populations locales vivent etrespectent la forêt. C'est un désaste écologique sans précédentqui se déroule en toute impunité. Avec leur rapport à laforêt, les malgaches sont des proies faciles pour les destructeursde la planète qui ne pensent qu'à faire du profit (le malgache estcohopérant, il coupe le bois de rose car ça lui rapporte plus quede reboiser (cf : generation-masoala.org), il mange des lémurienspour chercher du quatrz,...Madagascarsera bientôt un territoire de lamentation alors que la biodiversitémérite qu'on lui consarcre un reportage et des moyens pour laprotéger.« Pasd'arbre, pas de pluie, pas de pluie, pas de vie ! Ce que jai aimé :   Ce que je n'ai pas aimé : Votre présentation du programme est à côté de la plaque