Les temps changent

good stuff : J'ai trouvé ça très intéressant.C'est un bon outil de vulgarisation. Ce que jai aimé : L'accessibilité du sujet.Les questions environnementales sont traitées avec simplicité et les personnages sont des archétypes intéressant. De plus, son engagement. On ne peut être indifférent après l'avoir vu. Ce que je n'ai pas aimé : Que ce ne soit qu'un film et pas une série télé. Il y a matière, les désordres environnementaux sont divers et les moyens de les panser trop peu connus du grand public. Faite une série !!!!!

Où mène la peur? : J'ai aperçu ce documentaire fictionmercredi soir. Assez pour me faire peur c'est vrai. Et finalement jesuis content d'avoir éteint la télé, comme dans la critiquehumoristique : « Faites un geste : pour sauver laplanète éteignez votre télé ! », car je crois que l'humour peutêtre plus utile que la peur dans la sauvegarde de la vie. Moi je vous conseille plutôt le livre Le rire de la grenouilleoù celle-ci avale toute les eaux de la Terre etfinalement ce sont les animaux qui la font rire et sauve la planète. Ce que jai aimé : Pas grand chose Ce que je n'ai pas aimé : Le sérieux scientifique avec lequel ils prétendent prédire l'avenir.

déçu : Honteux : des hommes acheminés en train, encadrés par des hommes armés, triés comme de vulgaire animaux, séparés par des fils barbelés, la voix off parlait même de camps. On aurait pu confondre avec un reportage sur les camps de concentration diffusé sur Arte.Je suis d'accord sur le fait que le réchauffement climatique entraîne une modification de la faune et la flore, mais ce passage du documentaire n'avait pas lieu d'être. En tant qu'Européenne je me suis sentie agressée.Qui peut dire ce que, nous les hommes, notre mentalité, nos idéaux deviendront ?Si le but de ce docu/fiction était de faire réagir, ce fut le cas, mais pas d'une façon positive.Mon mari et moi sommes passés du rire (crispé) à la colère et à l'indignation. Ce que jai aimé : Le reportage sur l'ours polaire Ce que je n'ai pas aimé : Celui sur les Africains

déçu : Honteux : des hommes acheminés en train, encadrés par des hommes armés, triés comme de vulgaire animaux, séparés par des fils barbelés, la voix off parlait même de camps. On aurait pu confondre avec un reportage sur les camps de concentration diffusé sur Arte.Je suis d'accord sur le fait que le réchauffement climatique entraîne une modification de la faune et la flore, mais ce passage du documentaire n'avait pas lieu d'être. En tant qu'Européenne je me suis sentie agressée.Qui peut dire ce que, nous les hommes, notre mentalité, nos idéaux deviendront ?Si le but de ce docu/fiction était de faire réagir, ce fut le cas, mais pas d'une façon positive.Mon mari et moi sommes passés du rire (crispé) à la colère et à l'indignation. Ce que jai aimé : le reportage sur l'ours polaire Ce que je n'ai pas aimé : celui sur les Africains

Inconscience collective : A heure de grande écoute, pour toucher un large publique c'est quasi une première pour le public français. Vécue au Canada ou leurs habitants vivant plus en harmonie avec la nature ont déja plus conscience de cette future réalité. Bande de fainéant et d'égoiste que nous sommes, quand au tri des déchets, et aller chercher la baguette au coin de la rue en voiture!... Ce que jai aimé : Vérité cru, pour certains cela parait utopique, tellement facile quand on ne se sent pas concernés! Ce que je n'ai pas aimé : Cela aurait pu être encore plus cru et alarmant, on est en 2009, 2075 c'est loin? Et vos enfants alors?

Quoi de neuf ? : Un programme finalement peu crédible, trop "gros", on en a presque ri en famille. La réalité sera plus "bordélique" que cela, j'imagine. Malgré de magnifiques images, au vu de l'objectif de ce programme, je le note nul. Ce que jai aimé : Les images magnifiques Ce que je n'ai pas aimé : Le scénario est digne d'un film de science-fiction et non d'un docu-fiction. Les scènes décrivant l'immigration m'ont particulièrement déplu : l'esclavage sera-t-il de retour ? Une vision totalement déshumanisée, robotisée, c'est pire que le réchauffement en lui-même! Et où est la population parisienne ? Je croyais que les villes allaient être surpeuplées, au lieu de cela les rues sont vidées, il n'y a plus ni poussettes, ni enfants, ni vieux, ni chiens, ni terrasses de restaurants, ni hommes d'affaire pressés.....et tout parait aseptisé. N'est-ce pas contradictoire ? D'accord, tout le monde reste au frais, mais quand même...une pareille tranquillité me semble inespérée.