J'en fais mon affaire

Abes - 21 mars 2010 à 00:07
 Brigitte - 28 mars 2010 à 15:50
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https://www.linternaute.com/television/societe-j-en-fais-mon-affaire-p3120251/

j'en fais mon affaire : Les témoignages étaient poignants et le ressenti  du "il n'y a rien à faire" était omniprésent. C'est pourtant simple de dire la vérité. Cela éviterait aux personnes qui sont dans la douleur de se battre comme des forcenés. C'est une honte. Quand à l'accès aux dossiers médicaux (qui sont vides les 3/4) du temps il serait grand temps que notre Ministre de la santé y mette le nez. Ce que jai aimé : Ce reportage a été mené d'une façon qui n'est pas tombée dans le misérabilisme, il était humble et tout à fait réaliste.
Indispensable information aux citoyen : C'est toujours la Victime qui a tort actuellement dans notre société et notre système politique et judiciaire! Nous vivons dans un état de droit, soit disant , des lois appliquées n'importe comment par ceux abusant de leurs droits dans leur poste et qui restent impunis ! Ce que jai aimé : L'excellente approche, délicate dans ses questions et très directe partout y compris chez ''les autorités'' de Karine Duchochois, la journaliste qui enquêtait. Ce que je n'ai pas aimé : Ce qui était démontré, l'injustice et les abus dans la manière de procéder de notre Gendarmerie et Police et de leurs supérieurs.
La France : régime totalitaire ? :   Ce que jai aimé : L'objectivité de l'enquête avec des interviews des citoyens et de ceux sensés les protéger, la mise en évidence des finalités politiques, et de la complexité du système qui ne justifie rien, mais qui montre bien que le système est sclérosé, le choix des personnes interviewer, issus de tous les milieux sociaux et de toutes les origines. Ce que je n'ai pas aimé : l'heure de diffusion.
La France : régime totalitaire ? :   Ce que jai aimé : L'objectivité de l'enquête avec des interviews des citoyens et de ceux sensés les protéger, la mise en évidence des finalités politiques, et de la complexité du système qui ne justifie rien, mais qui montre bien que le système est sclérosé, le choix des personnes interviewer, issus de tous les milieux sociaux et de toutes les origines. Ce que je n'ai pas aimé : l'heure de diffusion.