La couleur du mensonge

Ce que jai aimé : Je ne peux pas dire "tout", mais comparativement aux autres chaînes , qui nous servent des plats prédigérés  tous les jours ou presque,  des séries  où on déroule  les grosses ficelles , les intrigues  éculées , ou le sanguinolant totalement inutile , mais si "attirant"...... Comme l'on dit : "il n'y a pas photo". Ce que je n'ai pas aimé : S'il y a quelques poncifs, l'ensemble valait  la peine de s'arrêter devant sa télé hier soir, car il y a tant de navets insipides, qu'au moins ce film ne peut être "critiqué" globalement.

Film : Très bien. Ce que jai aimé : Les acteurs.

Film : Très bien. Ce que jai aimé : Les acteurs.

Sans plus... : Mal joué. Ce que jai aimé : L'histoire. Ce que je n'ai pas aimé : Les 2 acteurs principaux.

Couleur, noir & blanc : Un beau proverbe sur la condition humaine démontrant que même "Achille" n'aurait pu faire autrement dans des circonstances identiques. Il s'agit d'une tragédie que Racine aurait aimée. Ce que jai aimé : Un étrange cheminement remontant la vie d'un homme poursuivi par les principes ou les apparences d'une société américaine d'avant l'émancipation des noirs et celle plus actuelle, "complexée" dans des travers contraires. Ce que je n'ai pas aimé : L'usage brutal et abondant de retours en arrière, ce qui fait perdre un peu le fil de l'histoire ; d'ailleurs il y manque une transition entre la jeunesse du héros et sa maturité finale. C'est un grand écart.

Couleur, noir & blanc : Un beau proverbe sur la condition humaine démontrant que même "Achille" n'aurait pu faire autrement dans des circonstances identiques. Il s'agit d'une tragédie que Racine aurait aimée. Ce que jai aimé : Un étrange cheminement remontant la vie d'un homme poursuivi par les principes ou les apparences d'une société américaine d'avant l'émancipation des noirs et celle plus actuelle, "complexée" dans des travers contraires. Ce que je n'ai pas aimé : L'usage brutal et abondant de retours en arrière, ce qui fait perdre un peu le fil de l'histoire ; d'ailleurs il y manque une transition entre la jeunesse du héros et sa maturité finale. C'est un grand écart.