Le destin d'un capitaine

Bernard - 28 mai 2008 à 12:25
 Jacques - 11 févr. 2010 à 23:59
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Merci ! : Merci, Alain de Sédouy ! Ce que jai aimé : L'armée française qui échappe, cette fois, aux stupides poncifs antimilitaristes qui la présentent habituellement comme un ramassis de tortionnaires.La belle personnalité du capitaine Oudinot Ce que je n'ai pas aimé : Le silence sur la directive envoyée, certainement sur les ordres de De Gaulle, par Louis Joxe, et sur le sort horrible qui a été réservé après leur abandon à cette population pro-française et en particulier aux Harkis
Ce que jai aimé : à peu près tout  , et"l'eau vive"chantée par Guy Béard, comme la chantaient les enfants 'd'une autre SAS , celle d'Aït Saada, où j'étais à la même époque Ce que je n'ai pas aimé : on n'a pas vu la fin des SAS
Honneur : Bravo et merci Ce que jai aimé : Voila le role de l'armée pour une fois presenté de maniere objective, et non comme le plus souvent une bande de tortionnaires, j'ai trouve le capitaine oudinot extraordinaire dans son recit.Le vrai gachis dans cette affaire c'est la trahison de la France vis à vis des harkis des pieds noirs et des hommes et femmes qui avaient pris partie pour une parole donnée et qu'ils n'ont pas acceptés la trahison. merco mon capitaine. Ce que je n'ai pas aimé : Je pense qu'il aurait fallu parler du sort reservé aux harkis et aux ordres de Messmer de laes abandonner.
petit fils de .... : merci à l'équipe du doc ce que vous m'avez offert n'a pas de prix Ce que jai aimé : je me nome Laurent Oudinot ,fils de jean-pierre , fils d yvone et de georges .Ce doc m'a permis de voir et d'apprendre des multiples choses sur mon grand père pour la première fois de ma vie Ce que je n'ai pas aimé : c'est un peu tard, j'ai 39 ans
Un de nos derniers Chevaliers : Superbe devoir de mémoire. Émouvant mais ô combien triste. La programmation un 13 mai : symboliquement forte ! Ce que jai aimé : La sincérité, l'honnêteté, l'engagement, l'humanisme et l'enthousiasme du Capitaine Oudinot. Ce que je n'ai pas aimé : L'absence de conclusion sur ce qui fût, au final, un gigantesque gâchis. Diffusion tardive.
Paul (Haute Savoie) : Ne pas avoir vue les village autour de Beni-douala. Ce que jai aimé : La vie à Beni-douala, car en contact direct avec le capitaine Oudinot , parrallelement avec le capitaine Hulrich et Lacroisade (221ème RI , 8ème compagnie) Ce que je n'ai pas aimé : Tout était bien
Un parmi beaucoup : Cet excellent témoignage n'empêchera pas hélas que seuls ceux qui croient aux valeurs d'honneur et de fidélité en garderont le souvenir .Quant aux "autres" ils trouveront toujours moyen de continuer à dénigrer et de salir . Alors ? " Que les chiens aboient mais surtout que la caravane passe !" Ce que jai aimé : La présentation du rôle des SAS Ce que je n'ai pas aimé : La quasi-occultation de triste fin des SAS
Sur le destin d'uèn capitaine : Honnêteté : La qualité des hommes, leur intelligence dansl’action, la générosité de leur engagement, leur réalisme face à des situationschangeantes et impliquant l’usage des moyens adaptés au type de combat imposépar le terrorisme, leur efficacité individuelle, leur drame personnel, face àla duplicité du Pouvoir et leurs motivations dans la révolte, sont parfaitementrendus et cela est tout à l’honneur du réalisateur….qui ne nous impose pas lemoralisme à la mode. L’habileté réside dans les questions d’Alain de Sédouy qui,adroitement, amène à juger, avec des critères d’aujourd’hui, des évènements quise situent dans un contexte d’un autre temps.Elle réside également dans labrutalité des images qui nous montre le caractère anachronique de Chibanisdécorés, de jeunes arabes de type goumier, comme on les aime, de femmes voiléeset discrètes, encadrés par des officiers et sous-officiers, à la fois rigoureuxet amicaux, des relations fondées sur un paternalisme sympathique, le tout surun fond de misère collective, acceptable puisqu’il est admis que l’on ne doitpas révolutionner les habitudes et les mœurs des sociétés ancestrales dont onla charge. Bref, on perçoit, consciemment ounon, dans ce reportage, le décalage de civilisation séparant les deuxcatégories de Français « à part entière », la survivance de latradition coloniale, au bon sens du terme ce qui n’est pas blâmable, mais rendpeu crédible l’idée d’intégration d’une population, de surcroît musulmane,comme on a pu le faire des savoyards ou des bretons. En conclusion, on sort de cefilm, satisfait de l’hommage rendu aux hommes, à leurs motivations, à leurcombat et vaguement nostalgique d’une époque où certaines valeurs, devenuesdérisoires de nos jours, avaient cours, au delà des troupes de boy-scouts. Alain de Sedouy réhabilite, defait, l’honorabilité d’un engagement pour une cause évidemment, selon cedocument, perdue d’avance tout en laissant gentiment entendre avec un brin decondescendance que « c’est encore plus beau lorsque c’est inutile… » Patrice Boissy Ce que jai aimé : Sur ce film et pour résumer, j’userai de deuxqualificatifs : Honnêteté et Habileté.
Sur le destin d'uèn capitaine : Honnêteté : La qualité des hommes, leur intelligence dansl’action, la générosité de leur engagement, leur réalisme face à des situationschangeantes et impliquant l’usage des moyens adaptés au type de combat imposépar le terrorisme, leur efficacité individuelle, leur drame personnel, face àla duplicité du Pouvoir et leurs motivations dans la révolte, sont parfaitementrendus et cela est tout à l’honneur du réalisateur….qui ne nous impose pas lemoralisme à la mode. L’habileté réside dans les questions d’Alain de Sédouy qui,adroitement, amène à juger, avec des critères d’aujourd’hui, des évènements quise situent dans un contexte d’un autre temps.Elle réside également dans labrutalité des images qui nous montre le caractère anachronique de Chibanisdécorés, de jeunes arabes de type goumier, comme on les aime, de femmes voiléeset discrètes, encadrés par des officiers et sous-officiers, à la fois rigoureuxet amicaux, des relations fondées sur un paternalisme sympathique, le tout surun fond de misère collective, acceptable puisqu’il est admis que l’on ne doitpas révolutionner les habitudes et les mœurs des sociétés ancestrales dont onla charge. Bref, on perçoit, consciemment ounon, dans ce reportage, le décalage de civilisation séparant les deuxcatégories de Français « à part entière », la survivance de latradition coloniale, au bon sens du terme ce qui n’est pas blâmable, mais rendpeu crédible l’idée d’intégration d’une population, de surcroît musulmane,comme on a pu le faire des savoyards ou des bretons. En conclusion, on sort de cefilm, satisfait de l’hommage rendu aux hommes, à leurs motivations, à leurcombat et vaguement nostalgique d’une époque où certaines valeurs, devenuesdérisoires de nos jours, avaient cours, au delà des troupes de boy-scouts. Alain de Sedouy réhabilite, defait, l’honorabilité d’un engagement pour une cause évidemment, selon cedocument, perdue d’avance tout en laissant gentiment entendre avec un brin decondescendance que « c’est encore plus beau lorsque c’est inutile… » Patrice Boissy Ce que jai aimé : Sur ce film et pour résumer, j’userai de deuxqualificatifs : Honnêteté et Habileté.
UN FILM VRAI : Très bien Ce que jai aimé : Ce film montre le vrai visage de la guerre civile d'Algérie, celui de la guerre arabo-arabe entre les Algériens partisans de l'évolution avec la France et ceux partisans d'un retour à un monde arabe influencé par l'islam. 46 ans après la trahison du général De Gaulle qui fit désarmer et massacrer par le FLN plus de 100.000 harkis afin que l'Algérie puisse devenir indépendante, on attend encore que soit condamner officiellement ce crime contre l'Humanité comme si était engagé Nicolas Sarkozy devant les Harkis le 31 avril 2007. Ce que je n'ai pas aimé : Il manque le massacre des Harkis après le départ des SAS?
UN FILM VRAI : Très bien Ce que jai aimé : Ce film montre le vrai visage de la guerre civile d'Algérie, celui de la guerre arabo-arabe entre les Algériens partisans de l'évolution avec la France et ceux partisans d'un retour à un monde arabe influencé par l'islam. 46 ans après la trahison du général De Gaulle qui fit désarmer et massacrer par le FLN plus de 100.000 harkis afin que l'Algérie puisse devenir indépendante, on attend encore que soit condamner officiellement ce crime contre l'Humanité comme si était engagé Nicolas Sarkozy devant les Harkis le 31 avril 2007. Ce que je n'ai pas aimé : Il manque le massacre des Harkis après le départ des SAS?
Un beau document : Cela m'a rappelé des souvenirs. Merci à Monsieur Alain de Sadouy Ce que jai aimé : Revoir les paysages d'Algérie Ce que je n'ai pas aimé : La mauvaise qualité de certaines images.
Un film vrai. : Le film "Le destin d'un capitaine" expose très bien le drame del'armée française en Algérie. Sa réussite repose sur la personnalitéd'Oudinot, sympathique, naturel, plein de bon sens, qui s'exprimeavec aisance et à propos.   La présence de plusieurs de ses anciens collaborateurs complètebien son témoignage.   La mauvaise qualité de certaines images est due sans doute aufait que ce sont des extraits de films d'amateur de l'époque.                          Ce que jai aimé : Le personnage du capitaine Oudinot et les témoignages des acteurs de cette aventure. Ce que je n'ai pas aimé : Rien
Un film vrai. : Le film "Le destin d'un capitaine" expose très bien le drame del'armée française en Algérie. Sa réussite repose sur la personnalitéd'Oudinot, sympathique, naturel, plein de bon sens, qui s'exprimeavec aisance et à propos.   La présence de plusieurs de ses anciens collaborateurs complètebien son témoignage.   La mauvaise qualité de certaines images est due sans doute aufait que ce sont des extraits de films d'amateur de l'époque.                          Ce que jai aimé : Le personnage du capitaine Oudinot et les témoignages des acteurs de cette aventure. Ce que je n'ai pas aimé : Rien
l'honneur del'Armée : Excellent ,à  poursuivre et bravo à Alain de Sédoui Ce que jai aimé : la réalité de la  vie passionnante d'un officier français,sans partie pris,un homme de coeur comme il y en a eu beaucoup dans l'empire  colonial.La vérité enfin sur le drame algérien,loin des clichés biens pensants qui vont dans le sens de l'histoire et font passer le FLN pour des saints et des héros alors que l'on connaît leurs exactions sur une population prise en otage(crimes qui continuent actuellement en Algérie) Ce que je n'ai pas aimé :  
Ce que jai aimé : Tout simplement la vérité qui ressort de ce document : dévoilant le manichéisme dont ont fait preuve le général De Gaulle et ses affidés, il permet, en montrant le travail d'une SAS, tout le bien apporté à la population et suggère tout ce qu'elle a dû supporter après le lâchage de l'Algérie aux brigands du FLN.
Ce que jai aimé : Tout simplement la vérité qui ressort de ce document : dévoilant le manichéisme dont ont fait preuve le général De Gaulle et ses affidés, il permet, en montrant le travail d'une SAS, tout le bien apporté à la population et suggère tout ce qu'elle a dû supporter après le lâchage de l'Algérie aux brigands du FLN.
Enfin un film honnête : Ce genre de film est à passer plus souvent. Un autre film excellent existe "Les déracinés", réalisé en 1972 par André Tesseire (d'après le livre du Cdt Marillier "Les compagnons de Taberga"), mais dont le passage dans les salles de cinéma a été très vite interrompu. Ce que jai aimé : J'ai regardé le film avec beaucoup d'intérêt et d'émotion. Enfin quelque chose d'honnête après ce que nous avons du subir entre "L'ennemi intime", "Les porteuses de feu" et autres films et documentaires nous présentant "la bonne lutte armée du FLN et des porteurs de valises contre les vilains colonisateurs" plutôt que les aspects positifs de la présence française en Algérie, que ce soit celle des Pieds-Noirs ou de l'armée française. Merci donc au réalisateur de ce film (qui rejoint ce que j'ai pu développer dans deux ouvrages : "Ma vérité sur la guerre d'Algérie" et "Guerre d'Algérie : j'en ai assez")
Excellent : Cefilm aide à mieux comprendre l’attitude des militaires qui, ayant déjà vécu en Indochinel'abandon de la population ayant pris le parti de la France, ne voulaient àaucun prix revivre ce parjure. Ce que jai aimé : Lerappel de la réussite de la pacification, tout à l'honneur de l'Armée.Lajoie populaire à l’idée d’être Français à part entière…Lerappel des discours trompeurs du Président de la Républiquequi avait déjà envisagé d'abandonner l'Algérie...Lamise en évidence du « lâchage » politique de ceux qui avaient mistoute leur énergie à rétablir la paix. Ce que je n'ai pas aimé : -
Erreur : Le capitaine Oudinot n'est pas ce saint homme que le documentaire a bien voulu nous faire croire. c'était un tortionnaire et un assassin qui a déshonoré et son armée et son pays. Pourquoi n'a t-il pas parlé d'une certaine mme Zidan, immolée par le feu, sur la place publique, par les soins du "brave" capitaine?Son tort? Elle avait un fils de 17 ans dans le maquis; et elle ne voulait pas le donner. Ce que jai aimé : voir les anciennes images Ce que je n'ai pas aimé : manque le témoignage de la partie adverse
Kabylie : c'est très bon Ce que jai aimé : Les photos réelles de la guerre que nos grandes mères nous racontaient. La réalité! Ce que je n'ai pas aimé : la torture
Jean-Jacques
11 mai 2008 à 11:08
Ce que jai aimé : La vision de ce qu'a été le rôle de l'Armée française dans les S.A.S. au plus près de la population civile du bled, prise en otage par le FLN.Ce film est à l'honneur de l'Armée à travers le cas du capitaine Oudinot ( qui n'était pas une exception) mais qui gênait, par son attitude exemplaire, De Gaulle et sa politique d'abandon depuis son discours sur l'autodétermination du 16 sep 1959. Ce que je n'ai pas aimé : On est passé trop vite sur les exactions atroces commises par le FLN pendant la guerre d'Algérie et après le cessez-le-feu du 19 mars 1962: les anciens membres algériens de la S.A.S. d'Oudinot ont été massacrés et c'est à peine s'il a évoqué ce point.